Depuis quelques années, nous parlions d'arracher ces lauriers qui mangeaient notre jardin sans pouvoir trouver le temps et l'énergie pour le faire. Il a suffit de trois jours pour couper les troncs, arracher les souches, livrer la déchetterie, et préparer le terrain pour y planter les deux pieds de vigne qui attendaient cet instant avec impatience.
Depuis presque une décennie, nous pensions récupérer notre cuve à essence enterrée devenue inutile pour y stocker l'eau de pluie et s'en servir comme tampon lors des gros orages qui menacent de devinir de plus en plus nombreux. Une petite semaine a suffit pour agrandir le trou d'homme, retirer les canalisations existantes, confectionner les écoulements dans le sol, réparer et consolider les dalles et gouttières descendant des toits.
Vite fait, bien(?) fait, le temps de la retraite permettant ...
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