Trois cents personnes ont avalé au même instant quatre-vingts pilules homéopathiques pour montrer qu’il était impossible de se suicider avec un médicament homéopathique, que ces médicaments étaient donc sans effet sur l’organisme et que, finalement, ils n’étaient pas des médicaments.
Et je m’étonne :
- quel besoin est-il de prouver qu’un produit si dilué qu’il ne contient plus aucune molécule "active" n’est qu’un placebo ? (ce qui n’est déjà pas si mal !)
- un médicament "allopathique" doit-il obligatoirement être néfaste à haute dose pour mériter sa qualification de médicament ?