Depuis quelques années, nous parlions d'arracher ces lauriers qui mangeaient notre jardin sans pouvoir trouver le temps et l'énergie pour le faire. Il a suffit de trois jours pour couper les troncs, arracher les souches, livrer la déchetterie, et préparer le terrain pour y planter les deux pieds de vigne qui attendaient cet instant avec impatience.
Depuis presque une décennie, nous pensions récupérer notre cuve à essence enterrée devenue inutile pour y stocker l'eau de pluie et s'en servir comme tampon lors des gros orages qui menacent de devinir de plus en plus nombreux. Une petite semaine a suffit pour agrandir le trou d'homme, retirer les canalisations existantes, confectionner les écoulements dans le sol, réparer et consolider les dalles et gouttières descendant des toits.
Vite fait, bien(?) fait, le temps de la retraite permettant ...
mardi 27 novembre 2007
samedi 24 novembre 2007
C'était la fête
Paulette et Daniel viennent de franchir ensemble la barre des soixante ans et de se lancer dans l'aventure de la retraite. Les invités étaient nombreux, à la hauteur de la popularité des deux amis et la fête fut belle, bien dans le style à la fois organisé et convivial de ces deux-là.
Bon anniversaire et bon vent ! Mais revenez-nous de temps en temps ...
Bon anniversaire et bon vent ! Mais revenez-nous de temps en temps ...
mardi 20 novembre 2007
C'est reparti !
Déjà le 20 novembre. Comme le temps passe, mon bon monsieur ! Entre les divers travaux de remises en état de toitures, jardins, véhicules - travaux laissés de côté quand on a autre chose à faire de plus urgent, comme de faire le boulot pour lequel on est payé, par exemple, entre les voyages de-ci, de-là, ca-hin, ca-ha, on n'a plus le temps de s'occuper des choses essentielles comme celle qui consiste à alimenter un blog.
Mais le temps est revenu ou je ne courais plus (pour parodier le chanteur), et c'est avec un certain ravissement que je peux me replonger désormais dans les délices de la jouebomanie ...
À suivre, puisque c'est dit !
Mais le temps est revenu ou je ne courais plus (pour parodier le chanteur), et c'est avec un certain ravissement que je peux me replonger désormais dans les délices de la jouebomanie ...
À suivre, puisque c'est dit !