mardi 25 novembre 2008

Du rythme !

Entre les deux mes bras balancent ... Trois jours avec la pelle, la pioche et la brouette, puis trois jours avec la scie, le marteau et la perceuse, et le cycle repart pour un tour jusqu'à épuisement des travaux. Changer d'activité permet certainement de varier les fatigues, mais ne diminue pas la consommation générale d'énergie ! L'important est que le stock en soit suffisant, sous peine de devoir passer à un autre rythme : trois jours de canapé devant la télé, trois jours de fauteuil devant l'ordi ... jusqu'à saturation là aussi.

mardi 18 novembre 2008

Passons ...

Famille, pelle et pioche (ou l'inverse), cours de danse, repas gastronomique à prix non astronomique, informatique à problèmes ... et le temps qui passe alors qu'on ne lui demande rien et qu'il fait ce qu'il veut et peut (mais sait-il faire autre chose que passer ?). Cette semaine clôturera vraisemblablement ce dernier automne, au vu de la météo frigorifique annoncée pour la prochaine semaine. Que l'hiver vienne et fasse vite et bien son travail dans le cycle des choses de la nature, et puis s'en aille tout aussi promptement, harcelé par les rayons d'un soleil qu'on commence déjà à regretter. Mais passons ...

mardi 11 novembre 2008

Neurones lactiques

Repos ! Plus précisément, changement d'activités. À partir d'un certain âge - non pas d'un âge 'quelconque' mais d'un âge réellement 'certain' - il faut savoir ne pas insister quand la fatigue est là et qu'on se sent bien las. Sortir de l'épuisement physique en mettant ses neurones au travail ou bien inversement rompre le cercle neurones-puces-neurones devenu trop vicieux en se remettant à la production d'acide lactique. Ne pas insister, vous dis-je, puisque justement, à partir d'un âge certain, on doit pouvoir faire ce qu'on ?eut. Non ?

mardi 4 novembre 2008

Rénovation

Une maison qui a enduré les outrages de trente années sans entretien mérite qu'on lui apporte un peu de la considération propre à lui redonner des couleurs. Des planchers tout neufs, de nouvelles tapisseries, des robinetteries qui n'ouvrent l'eau que lorsqu'on la demande, un petit chauffage pour les jours n'entrant pas dans la fable de la "douceur angevine", ... jusqu'au bon ravalement final capable de protéger ce bel intérieur. Vaste programme, n'est-il pas ? Pourvu que son ampleur ne nécessite pas trente années supplémentaires !